« Cher Monsieur Churchill, Je désire que vous sachiez que mes vœux très sincères vont à vous-même, aux vôtres, à la noble et vaillante Angleterre, en ce Noël d’une dure époque. Bien que par le temps qui court, on chicane la grandeur pour en avoir récemment abusé, vous savez y rester vous-même. Aussi mon amicale admiration vous demeure- t-elle fidèle »…
LNC, II, p. 1101.